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Poème de Yeats :
O'Driscoll drove with a song
The wild duck and the drake
From the tall and the tufted reeds
Of the drear Hart Lake.
[suite...]
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Le temps passe
Si on pouvait le regarder le temps qui passe
Mais hélas
Avec on passe.
Si on pouvait le regarder le temps qui passe
Mais hélas
Avec on passe.
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Ce n'était qu'un jour d'été
Je t'avais apporté des roses
Rien de plus qu'un jour d'été
mais où nous nous apprîmes
des choses
Rien qu'un jour d'été
qu'une glace au Jardin des Plantes
et que nos deux ombres dans le soir qui rentrent
chez soi
Rien qu'un jour d'été
rien que toi et moi
Nous allâmes au cinéma
et puis
chacun chez soi
Et je t'ai dit [suite...]
Je t'avais apporté des roses
Rien de plus qu'un jour d'été
mais où nous nous apprîmes
des choses
Rien qu'un jour d'été
qu'une glace au Jardin des Plantes
et que nos deux ombres dans le soir qui rentrent
chez soi
Rien qu'un jour d'été
rien que toi et moi
Nous allâmes au cinéma
et puis
chacun chez soi
Et je t'ai dit [suite...]
Mise en ligne : dimanche 9 décembre 2012, 18:34
Classé dans : 1991 | Traduction
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Dehors il y a du soleil.
Ce n'est rien qu'un soleil
mais les humains le regardent
et après ça ils chantent
Je ne sais pas du soleil.
Je sais la mélodie de l'ange
et le sermon brûlant
de l'ultime vent.
Je sais crier jusqu'à l'aube
quand la mort s'allonge dénudée
sur mon ombre.
Je pleure en dessous de mon nom.
J'agite des mouchoirs dans la nuit et des bateaux assoiffés de réel dansent avec moi.
J'occulte des clous
pour bafouer mes rêves malades.
Dehors il y a du soleil.
Je me vêts de cendre.
Ce n'est rien qu'un soleil
mais les humains le regardent
et après ça ils chantent
Je ne sais pas du soleil.
Je sais la mélodie de l'ange
et le sermon brûlant
de l'ultime vent.
Je sais crier jusqu'à l'aube
quand la mort s'allonge dénudée
sur mon ombre.
Je pleure en dessous de mon nom.
J'agite des mouchoirs dans la nuit et des bateaux assoiffés de réel dansent avec moi.
J'occulte des clous
pour bafouer mes rêves malades.
Dehors il y a du soleil.
Je me vêts de cendre.
Mise en ligne : samedi 1 septembre 2012, 12:40
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Que nous pensions de choses pures :
Deux, le long des chemins,
Côte à côte et mains dans les mains
Parmi les fleurs obscures,
Et marchant tels deux fiancés,
Dans la nuit des prairies,
Partageant ce fruit de féeries,
L'Amie aux insensés...
Et puis, nous nous sûmes mourant,
Très loin, dessus la mousse,
Tout seuls parmi l’ombre si douce
De ce bois murmurant ;
Et tout là-haut, dans une immense
Lumière, nous nous sommes
Vus en pleurant, cher qui me nommes
Compaing de ton Silence !
[suite...]
Deux, le long des chemins,
Côte à côte et mains dans les mains
Parmi les fleurs obscures,
Et marchant tels deux fiancés,
Dans la nuit des prairies,
Partageant ce fruit de féeries,
L'Amie aux insensés...
Et puis, nous nous sûmes mourant,
Très loin, dessus la mousse,
Tout seuls parmi l’ombre si douce
De ce bois murmurant ;
Et tout là-haut, dans une immense
Lumière, nous nous sommes
Vus en pleurant, cher qui me nommes
Compaing de ton Silence !
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La mer
étincelait ainsi qu’une gitane
sous ses volants d’azur où scintille le fer ;
et tu m’as dit :
« Que je suis lasse de la mer...
étincelait ainsi qu’une gitane
sous ses volants d’azur où scintille le fer ;
et tu m’as dit :
« Que je suis lasse de la mer...
Mise en ligne : jeudi 19 juillet 2012, 14:42
Classé dans : Recyclages
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Classé dans : Musicage
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