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Hier au supermarché, une femme parlait toute seule. Mon monde est merveilleux quand des folles y traînent.
(Toute seule ? Pas plutôt à son portable ?)
« Les moutons c'est bien des ovins ? », s'exclama-t-elle devant une barquette de merguez.
« Ouh ouh !... ... C'est à vous que je parle !
— Oui. »
Elle devait chercher un amant, à cette heure de début d'après-midi. Mais une folle qui parle toute seule à mon plaisir suffit.
(Toute seule ? Pas plutôt à son portable ?)
« Les moutons c'est bien des ovins ? », s'exclama-t-elle devant une barquette de merguez.
« Ouh ouh !... ... C'est à vous que je parle !
— Oui. »
Elle devait chercher un amant, à cette heure de début d'après-midi. Mais une folle qui parle toute seule à mon plaisir suffit.
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La foule est le grand moule où se coulent
les fous qui ont peur de perdre la boule
La foule est le four des fous des maboules
la foule est faite de sourds qui se saoulent
Le fou qui le sort son cou de la foule
on vous le lui tord son cou il s'éboule
Le fou qui se secoue de la foule
on vous le roue de coups qu'il s'écroule
(19 août 2007)
les fous qui ont peur de perdre la boule
La foule est le four des fous des maboules
la foule est faite de sourds qui se saoulent
Le fou qui le sort son cou de la foule
on vous le lui tord son cou il s'éboule
Le fou qui se secoue de la foule
on vous le roue de coups qu'il s'écroule
Mise en ligne : vendredi 6 juillet 2012, 23:07
Classé dans : Un schizoïde parade | 2007
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Classé dans : 2007 | Causeries
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