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Je suis né le 16 février 1961 à Quimperlé et
les voisins avaient une fillette qui s’appelait déjà
Christiane
Ma mère m’a prénommé Christian
J’étais son premier enfant et
manque d’imagination ?
Mais elle me donnait
une grande sœur
J’allais à l’école avec Christiane
Christiane allait à la grande école
Je me souviens
Il faisait toujours froid
Il pleuvait tous les jours
Nous attendions le car scolaire près du lavoir de Cleumbeuz
[suite...]
les voisins avaient une fillette qui s’appelait déjà
Christiane
Ma mère m’a prénommé Christian
J’étais son premier enfant et
manque d’imagination ?
Mais elle me donnait
une grande sœur
J’allais à l’école avec Christiane
Christiane allait à la grande école
Je me souviens
Il faisait toujours froid
Il pleuvait tous les jours
Nous attendions le car scolaire près du lavoir de Cleumbeuz
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Le jour où je vis son père, je compris. Sur le moment je fus tout à fait choqué qu’elle ait même osé me le montrer. Il me fallut quelques jours pour me faire à l’idée de l’existence d’un tel homme – comme à elle, sans doute, il avait fallu toute une jeunesse, autant dire toute une vie.
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Mise en ligne : mardi 17 décembre 2013, 12:52
Classé dans : 1993 | Le malétant
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Le taureau je suis
dans la corrida
Je suis saoul
pourtant je n'ai rien bu
Je suis seul
mais tous nous sommes nés libres et égaux
Je ne peux pas me protéger
mais j'ai le droit de tuer le matador
Les jupes des femmes sont rouges et leurs jambes
sont caressées du vent
Riobamba, 7 août 1993
dans la corrida
Je suis saoul
pourtant je n'ai rien bu
Je suis seul
mais tous nous sommes nés libres et égaux
Je ne peux pas me protéger
mais j'ai le droit de tuer le matador
Les jupes des femmes sont rouges et leurs jambes
sont caressées du vent
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Certains soirs je me couche
le nœud d'une corde autour du cou
et toute la nuit dans mes rêves
je pends
Je pends seul à mon arbre
Et pas une pleureuse ne vient me déranger
personne ne m'aperçoit pourrissant
là où je pends
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le nœud d'une corde autour du cou
et toute la nuit dans mes rêves
je pends
Je pends seul à mon arbre
Et pas une pleureuse ne vient me déranger
personne ne m'aperçoit pourrissant
là où je pends
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Tu n'écoutes pas
Ce qu'on te dit
Tu écoutes le bruit
Et les cris ...
Les gens te disent folle
Où tu es de passage
Parfois tes pas t'engagent
Derrière ma vieille école ...
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Ce qu'on te dit
Tu écoutes le bruit
Et les cris ...
Les gens te disent folle
Où tu es de passage
Parfois tes pas t'engagent
Derrière ma vieille école ...
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Mise en ligne : vendredi 9 mai 2008, 10:39
Classé dans : Singes sous la pluie | 1993
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Classé dans : 1993 | Héritage des P
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