Qu'attendez vous-là
jeune fille
qui restez là à
vieillir
avec ces fleurs
qui meurent
Le vain
queur.
jeune fille
qui restez là à
vieillir
avec ces fleurs
qui meurent
Le vain
queur.
Mise en ligne : mercredi 23 novembre 2011, 07:59
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Love's the boy stood on the burning deck
trying to recite "The boy stood on
the burning deck." Love's the son
stood stammering elocution
while the poor ship in flames went down.
Love's the obstinate boy, the ship,
even the swimming sailors, who
would like a schoolroom platform, too,
or an excuse to stay
on deck. And love's the burning boy.
L'amour est ce garçon [suite...]
trying to recite "The boy stood on
the burning deck." Love's the son
stood stammering elocution
while the poor ship in flames went down.
Love's the obstinate boy, the ship,
even the swimming sailors, who
would like a schoolroom platform, too,
or an excuse to stay
on deck. And love's the burning boy.
L'amour est ce garçon [suite...]
ô
île
je lance
mon sâbot vers toî
Boucle et barre la porte car
un vent fou nous assiège
Nos âmes sont au mieux ce soir si
ce logis les protège
Alors que tout au dehors de nous est
fou comme brume et neige
Horace est là près d'Homère
et Platon, entre eux deux, siège
Et de même Tully est ouvert à la page
de nos années de collège
quand toi et moi ignar' étions z-encore et
fous comme brume et neige
[suite...]
un vent fou nous assiège
Nos âmes sont au mieux ce soir si
ce logis les protège
Alors que tout au dehors de nous est
fou comme brume et neige
Horace est là près d'Homère
et Platon, entre eux deux, siège
Et de même Tully est ouvert à la page
de nos années de collège
quand toi et moi ignar' étions z-encore et
fous comme brume et neige
[suite...]
avait poussé
à acheter
un lièvre
un soir
Sur lequel
un beau jour
il partit
faire un tour
ce qui
(en partie)
emporta son désespoir
[suite...]
Pisser sur la neige
du pas de porte
fait des trous bien nets
Trous dans le mur
qui jouent de la flûte
un soir d'automne
Dans un rêve
notre fille soulève un melon
vers sa joue si douce
Visite aux tombes :
Le vieux chien
ouvre la voie
[suite...]
du pas de porte
fait des trous bien nets
Trous dans le mur
qui jouent de la flûte
un soir d'automne
Dans un rêve
notre fille soulève un melon
vers sa joue si douce
Visite aux tombes :
Le vieux chien
ouvre la voie
[suite...]
Mise en ligne : mardi 1 mars 2011, 11:14
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Le seul Fantôme que jamais je vis
Était vêtu de Mousselines – absolument ! –
Il allait sans sandale au pied –
Marchait comme des flocons de neige –
Son Allure – silencieuse comme un Oiseau –
Mais rapide – comme un Chevreuil –
Ses manières, bizarres, hybrides –
Voire comme d'un Druide –
Sa conversation – rare –
Son rire – comme la Brise
S'allant mourir en Fossettes
Parmi les Haies pensives –
Notre entretien – fut bref –
Tant moi je l'intimidais –
Or Dieu me garde de regarder en arrière –
Depuis ce Jour terrible !
[suite...]
Était vêtu de Mousselines – absolument ! –
Il allait sans sandale au pied –
Marchait comme des flocons de neige –
Son Allure – silencieuse comme un Oiseau –
Mais rapide – comme un Chevreuil –
Ses manières, bizarres, hybrides –
Voire comme d'un Druide –
Sa conversation – rare –
Son rire – comme la Brise
S'allant mourir en Fossettes
Parmi les Haies pensives –
Notre entretien – fut bref –
Tant moi je l'intimidais –
Or Dieu me garde de regarder en arrière –
Depuis ce Jour terrible !
[suite...]
Mise en ligne : lundi 12 avril 2010, 20:42
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J'suis Personne ! T'es ki toi ?
Serais-tu ... Personne ... itou ?
Alors comm' ça on s'rait deux ?
Mais... ferm'-la ! on l' f'rait savoir ... c'est couru...
C'est chiant... d'être... Quelqu'un !
D'être un « homm' public », d'être... comme une Grenouille...
Qui répète son blase... à longueur de Juin...
À un Marais baba !
[suite...]
Serais-tu ... Personne ... itou ?
Alors comm' ça on s'rait deux ?
Mais... ferm'-la ! on l' f'rait savoir ... c'est couru...
C'est chiant... d'être... Quelqu'un !
D'être un « homm' public », d'être... comme une Grenouille...
Qui répète son blase... à longueur de Juin...
À un Marais baba !
[suite...]
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