ô
île
je lance
mon sâbot vers toî
sont reconnaissables
à ce qu'ils disent n'importe quoi.
L'observation de la vie animale est le grand plaisir de sa petite vie. Mais pas besoin de safari pour lui : un chien s'étirant béat sur son trottoir, deux amoureux qui se font des bisoux...
Mise en ligne : samedi 5 novembre 2011, 07:34
Classé dans : Meilleurs écrits | 2011 | Singes sous la pluie
Commenter | permalienk
Classé dans : Meilleurs écrits | 2011 | Singes sous la pluie
Commenter | permalienk
Ça ne peut plus continuer comme ça. Je ne mange plus, je ne dors plus, j'ai plus de migraine qu'une comédienne de boulevard à la cinq-centième représentation.
Ça ne peut plus continuer comme ça. Déjà trois docteurs à qui je montre mon hostilité : ça ne peut plus durer.
Demain je demande qu'on m'achève ; qu'on puisse enfin — procéder à l'autopsie.
(12 novembre 1996)
Ça ne peut plus continuer comme ça. Déjà trois docteurs à qui je montre mon hostilité : ça ne peut plus durer.
Demain je demande qu'on m'achève ; qu'on puisse enfin — procéder à l'autopsie.
Mise en ligne : mercredi 2 novembre 2011, 07:42
Classé dans : Épigrammes | 1996
Commenter | permalienk
Classé dans : Épigrammes | 1996
Commenter | permalienk
Quelques autres de mes zoeuvres sur un vieux site au rigolot disagne Internet des années 1990 :
Promenade des singes sous la pluie
Mise en ligne : lundi 31 octobre 2011, 08:42
Classé dans : Briques éparses | 2011
Commenter | permalienk
Classé dans : Briques éparses | 2011
Commenter | permalienk
En Irlande où je mange d'ultimes biscottes
Ayant claqué mon fric à me saouler la gueule
En des pubs surpeuplés où j'étais pourtant seul
Et saoulé mes tympans de musiques discotes
Je reste au plumar ceû qui au moins tout risque ôte
D'effusion monétaire et je lis au lit seul
La théory du quatorzain français vu d'Hull
(England) par un certain Euh... David H.T. Scott
À Dublin où je gringue en fait du chocolat
[suite...]
Ayant claqué mon fric à me saouler la gueule
En des pubs surpeuplés où j'étais pourtant seul
Et saoulé mes tympans de musiques discotes
Je reste au plumar ceû qui au moins tout risque ôte
D'effusion monétaire et je lis au lit seul
La théory du quatorzain français vu d'Hull
(England) par un certain Euh... David H.T. Scott
À Dublin où je gringue en fait du chocolat
[suite...]
Mise en ligne : dimanche 30 octobre 2011, 06:47
Classé dans : Enfance du N | 1986 et avant
Commenter | permalienk
Classé dans : Enfance du N | 1986 et avant
Commenter | permalienk
Le monde est le monde et moi j'y vais seul – au monde
Tout le monde est au monde sauf moi – en dehors du monde !
Mon jeune âge s'amuse et moi je vais seul par les champs
La nature chante et moi j'y chante – faux
Jë në sôrê donnê dë nõ à aucune dë sê plantes
La nature foisonne et moi je vais seul par les champs
Mon chien esq il sait qu'il est chien d'aveugle – et de sourd
Je suis celui qui n'a de lien avec le monde – que mon chien.
Tout le monde est au monde sauf moi – en dehors du monde !
Mon jeune âge s'amuse et moi je vais seul par les champs
La nature chante et moi j'y chante – faux
Jë në sôrê donnê dë nõ à aucune dë sê plantes
La nature foisonne et moi je vais seul par les champs
Mon chien esq il sait qu'il est chien d'aveugle – et de sourd
Je suis celui qui n'a de lien avec le monde – que mon chien.
Je vais écrire un roman ; un roman où le personnage principal, au premier chapitre, s'éveille ; et puis d'autres romans.
Je n'y raconterai(s) pas ma vie. Je n'y donnerai(s) pas mon avis. Ce sera l'histoire d'un chat. [suite...]
Je n'y raconterai(s) pas ma vie. Je n'y donnerai(s) pas mon avis. Ce sera l'histoire d'un chat. [suite...]
Le poète maudit, avait besoin de trop d'affection de son vivant, pour que quiconque ose l'accueillir, dans sa bibliothèque intime.
[suite...]
[suite...]
Commenter | permalienk