Je connais rien à la vie mais j'en cause quand même #251 
    Les femmes, plus elles avancent en âge, moins elles aiment les hommes, plus elles en ont besoin.
Mise en ligne : jeudi 9 avril 2009, 20:08
Classé dans : Minimes  |  2009
Commenter   |  permalienk

Soliloque 
Soleil triste
Soleil glauque
Seul oeil glauque qui
Soliloque
Salë cloque
Seule et glauque
Salë* [lok]
Seul oeil triste
Seuleil triste
Mise en ligne : lundi 23 mars 2009, 10:53
Classé dans : Proses insensées  |  2009
Commenter   |  permalienk

Noter le pluriel en français oral 
    La dernière réforme de l'orthographe préconise de marquer les pluriels par ajout systématique d'un « s » final, y compris aux mots empruntés (des scénarios) et aux composés comportant un trait d'union (un presse-papier, des presse-papiers). (Tant qu'à faire écrire des gazs, des bonuss ?)
    Un « s » qui ne se prononcera jamais et ne fera donc que renforcer le fossé entre écriture et prononciation. Comment faire comprendre à l'oral que ce qui s'écrit presse-papiers est un pluriel (dans une dictée ou pour dire le nom d'un ouvrage) : prèss-pa-pié-èss ? prèss-pa-pié-o-plu-riel ?
    Il serait mieux d'autoriser voire de recommander : des presse-papier, des scénario, des euro (ce dernier préconisé par certains, d'ailleurs). Du moins quand ce s n'a rien d'étymologique. [suite...]
Mise en ligne : lundi 23 mars 2009, 09:20
Classé dans : 2009  |  Briques éparses  |  Chantier
1 commentaire   |  permalienk   |  Aller plus loin

Ceci (non plus) n'est pas une allusion (quoi que vous penseriez peut-être le contraire ?) 
    La misère supplémentaire des gens (comme moi) qui ne parlent jamais par allusion (parce qu'ils en sont incapables, qu'ils n'ont même pas le « réflexe allusion », réflexe qui leur simplifierait tellement la vie, leur permettrait à tant d'occasions de se faire comprendre enfin) c'est le nombre (affolant, et je trouve même : étrangement élevé) de leurs propos que les autres interprètent, au bénéfice de l'incompréhension mutuelle, comme des allusions !
Mise en ligne : mardi 17 mars 2009, 13:45
Classé dans : Causeries  |  2009
Commenter   |  permalienk

Niouzes du 7 mars 2009 
    Me suis remis aux Poésies complètes de Rictus, programmation de la mise en page et révision des notes. Assez pénible, surtout avec la migraine. J'en vois difficilement la fin.
    Quelqu'un m'a dit que ce blog « faisait peur ». J'ai regardé ce que j'ai blogué (mes écrits) : il y a en effet de quoi faire peur. Mais telle est ma vision du monde. Un monde où je vis globalement serein, même si mes plaisirs sont incompréhensibles à la plupart des gens. Qu'est-ce qu'une vie gâchée, une vie réussie ? Comment conduire sa vie autrement qu'elle se conduit ? Pourquoi mesurer son plaisir avec les critères d'autrui ? Quand justement on vit séparé d'autrui (enfin, jamais totalement c'est vrai : quelqu'un qui se retrouverait vraiment seul mourrait au bout de quelques semaines...)
Mise en ligne : samedi 7 mars 2009, 22:58
Classé dans : Un schizoïde parade  |  2009
2 commentaires   |  permalienk


«