Ne redoute plus la chaleur du soleil,
Pas plus que du furieux hiver les rages ;
Tu as ta terrestre tâche achevée,
Rapatrié tu es, bien perçus tes gages :
Précieux gars et filles, tous et toutes ils doivent,
Tels les ramoneurs, partir en poussière.
Ne redoute plus le courroux du puissant,
Te voilà z-au delà des coups des tyrans ;
Souci n’aies plus du vêtement ni du manger ;
Pour toi le roseau équivaut le chêne :
Le roi, le savant, le médecin, ils doivent
Tous subir ce sort, partir en poussière.
[suite...]
Pas plus que du furieux hiver les rages ;
Tu as ta terrestre tâche achevée,
Rapatrié tu es, bien perçus tes gages :
Précieux gars et filles, tous et toutes ils doivent,
Tels les ramoneurs, partir en poussière.
Ne redoute plus le courroux du puissant,
Te voilà z-au delà des coups des tyrans ;
Souci n’aies plus du vêtement ni du manger ;
Pour toi le roseau équivaut le chêne :
Le roi, le savant, le médecin, ils doivent
Tous subir ce sort, partir en poussière.
[suite...]
Classé dans : Traduction
Commenter | permalienk